L’amour, c’est mon métier (1959) (Die Wahrheit über Rosemarie) |
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Réalisateur : Rudolf
Jugert Fiche technique: ici CASTING
SYNOPSIS Libérée d’une maison de redressement,
la jeune Rosemarie n’a d’autre ambition que de prendre sa revanche sur la
société en gagnant beaucoup d’argent sans travailler ; elle se rend au
quartier des prostituées mais ne saurait se contenter d’une clientèle
misérable. Elle s’installe dans une chambre sous-louée d’appartement
bourgeois et ne se prostitue qu’à des hommes riches, industriels ou hommes
d’affaires qui paient largement. Elle fait aussi la connaissance d’un Russe
émigré, Woltikoff, qui lui paie une superbe voiture
et lui demande de l’épouser. Elle voit l’avenir en rose, mais Woltikoff est forcé de quitter Francfort dès le lendemain
et il lui demande de l’attendre patiemment. Dès le départ, malgré les
admonestations de Frau Huber, sa logeuse, elle reprend son métier et son compte
en banque s’accroît régulièrement. Un jour, Woltikoff
l’a fait venir à Cannes et au cours d’une explication orageuse, décide de la
renvoyer, puis se ravise et reparle mariage ; mais il meurt dans la nuit
d’une crise cardiaque. |