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Un été d’orages (1988)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Réalisatrice : Charlotte Brandstrom

 

Fiche technique: ici

 

CASTING

 

 Judith Godrèche

Laurence

Stanislas Carré de Malberg

Louis

Murray Head

Jack

Marie-Christine Barrault

Anne

Eva Darlan

Hélène

Jean Bouise

Robert

Luc Lavandier

François-Xavier

Béatrice Lord

Léonie

Emmanuelle Escourrou

Alix

Gisèle Casadesus

Grand-mère

Christian Cloarec

Julien

Alain Fromager

Antonin

Georges Staquet

Le chef de la milice

Stephan Airy

Laurent

Thomas Chabrol

Un milicien

Emmanuel Curtil

Un milicien

Arno Chevrier

L’homme blessé

 

 

 

SYNOPSIS

 

 

 Auvergne, été 44. Les Raynal sont de nouveau réunis pour passer des vacances dans la demeure familiale: Yves (chef d'un groupe de résistants), marié à Hélène, avec leur fille, Laurence; Anne (attirée par Yves) et son fils, Louis; Robert (le pétainiste) et François-Xavier, un solitaire dont tous, sauf son père, se méfient. Louis découvre la beauté de sa cousine Laurence, mais celle-ci boude et s'ennuie. Faute de mieux et pour contre-carrer les avances qu'Alix, une orpheline recueillie par la famille, fait à Louis, Laurence flirte avec son cousin. Jusqu'au jour où surgit Jack, qu'Yves présente comme un vieil ami de Paris. Jack est en réalité un Anglais parachuté pour prendre en main la Résistance dans la région. Cette nouvelle autorité n'est guère acceptée et les maquisards décident de tenter une action de sabotage pour affirmer leur autonomie vis-à-vis de l'étranger. Mais leur plan échoue: deux des fils de Léonie, la bonne des Raynal, sont tués. La milice perquisitionne chez les maîtres, sans rien trouver... La présence de Jack, son charme, ses divers talents de musicien, chanteur, conteur, et ses responsabilités, font succomber Laurence et rendent Louis fou de jalousie. A tel point qu'il dénonce par lettre l'Anglais aux miliciens. Rongé de remords, il tente, en vain, d'éviter le drame: Jack est abattu sous ses yeux... Les vacances et la guerre s'achèvent. Tous s'apprêtent à rentrer chez eux. C'est alors que François-Xavier remet à Louis la fameuse lettre de délation qui n'est jamais arrivée à destination.