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Très insuffisant (1979)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réalisateur : Hervé Bérard

 

Fiche technique: ici

 

CASTING

 

 Valérie Champetier

Claire

Sarah Lévy

Laurence

Pascale Dusses

Isabelle

Hervé Bérard

L’ami d’Isabelle

Jean-Michel Ausseil

L’ami de Laurence

Jean-Pierre Binois

Le frère de Laurence

Nina Hoang

La sœur de Laurence

Jacques Zelde

Le père de Laurence

Janine de Hemptinne

La mère de Laurence

Laure Duthilleul

Une copine de Laurence

Ginette Dubois

Une copine d’Isabelle

Dominique Dubois

Un copain d’Isabelle

Serge Duprès

Un copain d’Isabelle

André Lisi

Un copain d’Isabelle

Fabien Nerozzi

Un copain d’Isabelle

Marion Lévy

Une copine de Claire

Pierre-Henri Deleau

Le directeur du foyer

Jean Carlin

Le prof de philo

Paul Brial

Le prof d’espagnol

Louis Dangeville

Le prof de maths

Emilie Hoffer

La prof d’économie

Jean-Jacques Schpoliansky

Le prof de théâtre

Lou Chastel-Fliss

La prof d’anglais

Janee Honberger

La secrétaire

 

 

 

SYNOPSIS

 

 

Le malaise de lycéens, plus particulièrement vécu par Claire, devant la succession des cours, tous proférés de la même manière, sans réel échange entre élèves et professeurs, même en terminale. Solution: le boycottage, soit par le séchage pur et simple des cours, soit par la passivité la plus totale, mais qu'importe, il y a toujours le prof grincheux qui de toutes façons s'en fiche, il est payé. Laurence vit chez ses parents et se sent, chez eux, aussi mal qu'au lycée. D'ailleurs plus rien ne l'intéresse ni ne la motive, elle sèche tout autant les cours que les répétitions de théâtre, où les mêmes rapports sont instaurés. Le vide, la dépression molle. Solution: partir, quitter ses parents. Mais cela fait plusieurs fois qu'elle "fait le coup", et à chaque fois elle revient... Une jeune fille, un jeune étudiant en université. Une liaison, pas vraiment un couple. Beaucoup de choses les séparent. Elle, elle est celle qui a réussi à "partir", elle vit dans un foyer de jeunes travailleuses, et cherche sans arrêt du boulot. Car ce qu'elle trouve n'est jamais exaltant, et ne dure guère. Elle sait qu'elle se fait avoir, qu'elle est toujours sous-payée, c'est en ce sens qu'elle est proche des jeunes prolétaires de la cité ou du bistrot. Comme pour eux, son seul horizon ne devient plus désormais que la virée du samedi soir en boîte. Son compagnon étudiant ne lui est pas du secours qu'elle pourrait attendre, de surcroît peu à peu il critique tout ce qu'elle fait, tout ce qu'elle dit. Le clivage est creusé: il est trop petit-bourgeois pour elle, il a trop papa et maman derrière lui. Elle ne peut compter que sur elle-même.